Le 12 janvier 2018 a eu lieu à Ouagadougou la signature d’un premier accord de partenariat pour la Chaire Sahel entre la coopération monégasque et la Ferdi.
Gilles Tonelli, Conseiller de Gouvernement, Ministre des Relations extérieures et de la Coopération monégasque et Patrick Guillaumont, Président de la Ferdi ont signé cet accord en présence de S.A.S. le Prince Souverain Albert II et du Président de la république du Burkina Faso Roch Marc Christian Kaboré, de son Premier ministre Paul Kaba Thieba et de plusieurs autre membres du gouvernement burkinabé.
Tertius Zongo, ancien Premier ministre du Burkina Faso et senior fellow de la Ferdi sera le responsable africain de la Chaire Sahel. Pour cette signature, il est présent aux côtés de Patrick Guillaumont avec Sibry J.M. Tapsoba, Directeur du département de l’Appui à la transition de la Banque africaine de développement.
Cet événement, auquel assistaient de nombreuses personnalités, illustre le rôle catalyseur de l’engagement de la coopération monégasque, laquelle contribue déjà à mobiliser d’autres sources de financement. La Chaire Sahel de la Ferdi
La Chaire Sahel de la Ferdi est un espace de réflexion consacré à l’examen, sous différents angles, des politiques, plans et projets mis en oeuvre, des modes d’actions retenus, des méthodes d’évaluation, ainsi que des impacts observés ou attendus dans les pays du Sahel.
L’objectif est d’éclairer les décisions des acteurs publics et privés dans leur action pour la sortie de crise et pour le développement durable de la région Sahel. L’objectif est d’en renforcer l’impact sur les populations et dans les secteurs d’activité ciblés (éducation, développement rural, santé, gouvernance/ institutions).
La Ferdi a fait le choix d’ancrer fortement la Chaire au Sahel. Elle sera basée à Ouagadougou sous la responsabilité de Tertius Zongo, ancien Premier ministre du Burkina Faso et Senior Fellow de la Ferdi.
La création d’une Chaire Sahel au sein de la Ferdi s’inscrit dans sa politique générale de création de chaires ayant pour but de conforter ses grands programmes de réflexion sur les politiques de développement et de renforcer leur valorisation.