Les panélistes ont échangé sur les questions suivantes :
Quel est le rôle des banques multilatérales, notamment de la Banque africaine de développement, pour combler le déficit de financement du climat ?
Comment les pays africains peuvent-ils être encouragés à investir davantage dans le climat et à lever des fonds au niveau national pour le changement climatique, et à concevoir des politiques climatiques nationales qui aident à lever des recettes?
Que peuvent faire les pays pour minimiser ou réduire considérablement les obstacles afin de permettre aux philanthropes, aux fonds de pension, aux investisseurs d'impact et aux fonds de pension d'investir dans des opportunités liées au climat ?
Comment les pays développés peuvent-ils faire davantage pour accélérer leurs engagements internationaux en matière de changement climatique et intensifier la résilience, l'adaptation et l'atténuation du climat dans les pays en développement, en particulier en Afrique ?
Matthieu Boussichas, chargé de programmes à la Ferdi, a pris part à la discussion.
Modérateur
Désiré J. M. Vencatachellum, Directeur, Département de la mobilisation des ressources et du financement externe, Banque africaine de développement.
Panélistes
Kevin Urama, économiste en chef par intérim et vice-président, Banque africaine de développement
Mohammed Sagagi – Vice-président, Conseil consultatif économique nigérian (EAC)
Matthieu Boussichas, Directeur de programme, Fondation pour les études et recherches sur le développement international (Ferdi)
Mark Watkinson, Chief Executive Officer, et Executive Director Bank One Limited, Maurice
Rapporteur
Joel Molel, Banque africaine de développement
La Fondation pour les études et recherches sur le développement international (Ferdi) a ouvert un site internet consacré à l’indicateur de vulnérabilité physique au changement climatique (PVCCI). Le site https://ferdi-indicators.shinyapps.io/PVCCI/ donne accès librement aux indices de vulnérabilité physique au changement climatique et les cartes associées de 191 pays et 47,138 unités administratives. Ce projet est réalisé en collaboration avec le Cente d’études et recherches sur le développement international (Cerdi).