Cette formation fait partie d'un parcours de 11 formations, flexible, tutoré et certifiant, spécialement élaboré pour les administrations fiscales et douanières.
Il offre un programme riche et varié, adapté aux besoins spécifiques des professionnels, pour maîtriser les enjeux liés aux données, optimiser la prise de décision et accroître l’efficacité opérationnelle.
Les différentes formations proposées dans ce parcours peuvent être suivies
« à la carte» selon les besoins et les profils des personnes intéressées. Les formations sont complémentaires, axées pour certaines sur certains enjeux stratégiques et d’autres sur la mise en oeuvre pratique notamment de manipulation et d’analyse statistiques des données. Le
tout ayant pour objectif de :
Cette formation offre une approche contextualisée, centrée sur des données SYDONIA.
Ainsi, nous vous guiderons pas à pas à travers les concepts fondamentaux de R, en mettant l’accent sur des cas pratiques extraits du système d’information SYDONIA du Niger. Vous saurez importer des données, les nettoyer de leurs anomalies, les mettre au bon format, créer de nouvelles variables et les décrire.
En maîtrisant cet outil, vous serez en mesure d’optimiser l’efficacité de vos analyses tout en renforçant les performances fiscales et douanières de vos administrations.
Formation gratuite
Pour les besoins liés à des situations de handicap, vous pouvez contacter notre référente handicap : emeline.campagne@ferdi.fr
Ce parcours de formations, représentant au total 150 heures d’enseignement à distance, a été produit dans le cadre du projet DATAFID, financé par la Direction générale du Trésor français et mis en œuvre par Expertise France.
Les contenus des différentes formations du parcours sont le fruit d’une collaboration étroite entre les experts de la Fondation pour les études et recherches sur le développement international, de l’Organisation mondiale des douanes, de Numéricité, de Géo212, des administrations fiscales et douanières de la Côte d’Ivoire, de la Mauritanie, du Niger et du Togo sans lesquelles il n’aurait été possible d’ancrer les contenus dans la réalité des données et des contextes des administrations africaines.