Au Mali, comme en beaucoup d’autres lieux, au moins en Afrique, Soumaïla Cissé était pour le plus grand nombre tout simplement Soumaïla, comme s’il était le parent ou même le frère que chacun de nous voudrait avoir. Pas de sigles en trois lettres comme pour beaucoup d’hommes politiques qui se sentent peut-être ainsi pousser des allures de Kennedy. Seulement un prénom qui suffisait à tous pour le reconnaitre.